Epidémie révolutionnaire.
Numéro d'inventaire : 1979.06134
Type de document : image imprimée
Éditeur : Dopter (58 rue de la Harpe Paris)
Période de création : 3e quart 19e siècle
Date de création : 1850 (vers)
Description : lithographie
des rousseurs
ruban adhésif au dos de la feuille
des rousseurs
ruban adhésif au dos de la feuille
Mesures : hauteur : 345 mm ; largeur : 256 mm
Notes : La scène se déroule manifestement le 25 février, puisque l'on aperçoit un citoyen (Guizot ?) lisant au son du tambour un journal titrant "Proclamation de la République Française". Une foule assemblée pour fêter la République se trouve au pied d'un hôtel : "A la bonne Brioche" (enseigne caricaturée de Louis Philippe). Au 1er étage à la fenêtre, Louis Philippe, s'arrachant les cheveux, se lamente en observant la foule. Texte suit :
"République ô rage ! que n'ai-je dans mes mains ma vieille épée de Jemmapes : j'affaiblirais ces voix sanguinaires, je détruirais jusqu'à l'enfant au berceau, mais ma tête s'égare, ah Guizot, Guizot, tu portes dans mon âme des idées de suicide, vois ma fureur est extrème, je me détériore le chef, (avec réflexion) insensé que je suis, je n'ai même pas cette satisfaction, mes cheveux ne m'appartiennent pas, je porte perruque; fatalité, fatalité........".
Planche n°16 de la série sur la Révolution de 1848.
"République ô rage ! que n'ai-je dans mes mains ma vieille épée de Jemmapes : j'affaiblirais ces voix sanguinaires, je détruirais jusqu'à l'enfant au berceau, mais ma tête s'égare, ah Guizot, Guizot, tu portes dans mon âme des idées de suicide, vois ma fureur est extrème, je me détériore le chef, (avec réflexion) insensé que je suis, je n'ai même pas cette satisfaction, mes cheveux ne m'appartiennent pas, je porte perruque; fatalité, fatalité........".
Planche n°16 de la série sur la Révolution de 1848.
Mots-clés : Histoire et mythologie
Filière : aucune
Niveau : aucun
Langue : Français
Mention d'illustration
ill.
Mention d'illustration
ill.
