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Cahier de "Compositions françaises"

Numéro d'inventaire : 2015.8.2295
Auteur(s) : Cécile Rossard
Type de document : travail d'élève
Période de création : 2e quart 20e siècle
Date de création : 1930
Matériau(x) et technique(s) : papier
Description : Cahier cousu "Les Maîtres de la Peinture" (N°15) de la "Librairie Hachette - Paris". Couv. papier rigide de couleur marron renforcée, en son dos, par un liseret protecteur adhésif textile toilé de couleur bordeaux. En Première p. de couv. : dans un cadre rectangulaire aux liserets d'encadrement de couleurs blanche et noire, on trouvera la reproduction d'un tableau de maître : "L'étang" (tableau exposé au Musée du Louvre) de J.-B. Corot (texte explicatif en Quatrième p. de couv.). Réglure Seyès. Ecriture à l'encre noire et bleue. Notes, corrections, appréciations et commentaires de l'enseignant au crayon à papier et à l'encre de couleurs diverses (violet, noir, rouge, bleu, bleu turquoise, etc).
Mesures : hauteur : 22 cm ; largeur : 17,2 cm
Notes : Cahier de ''Compositions françaises" avec de nombreux textes :

"Vous revenez après une longue absence dans un pays que vous avez beaucoup aimé. Vous n'y retrouvez pas vos impressions d'antan. Vous êtes déçue. est(-ce vous ou lui qui avez changé ?" ; "Hymne au Printemps" ; "Hymne au clair de lune" ; "Hymne à l'eau" ; "Commentez et discutez cette pensée : Rien ne nous rend si grand qu'une grande douleur" ; "Commentez cette phrase d'un romancier contemporain : Je souhaitais la tombe pour me soustraire à la douleur des autres" ; "Il y aurait de quoi faire bien des heureux avec tout le bonheur qui se perd dans le monde" ; "Commentez et discutez cette pensée de Verhaeren : Si j'aime, admire et chante avec folie Le vent, Et si j'en bois le vin fluide et vivant Jusqu'à la lie, C'est qu'il grandit mon être entier et c'est qu'avant De s'infiltrer, par mes poumons et par mes pores, Jusques au sang dont vit mon corps, Avec sa force rude ou sa douceur profonde, Immensément il a étreint le monde" ; "Commentez et discutez ces mots de Mme de Staël : Seul veillons sur nos pensées, en famille veillons sur notre humeur, en société veillons sur notre langage" ; "Pourquoi devons-nous surveiller notre humeur surtout en famille ?" ; "Le songe de Gutemberg : Gutemberg à bout de ressources, découragé, épuisé, s'endort un jour dans le misérable réduit qui lui sert d'atelier, prêt à renoncer à son entreprise, il fait un rêve dans lequel il voit les merveilleux développements de son invention et les prodigieux résultats qu'elle devrait avoir pour l'humanité, livres à bon marché, dans toutes les mains, instruction à la portée de tous, diffusion des connaissances, journaux...".
Mots-clés : Rédactions
Niveau : non précisé
Nombre de pages : Non paginé
Commentaire pagination : 32 p.
couv. ill. en coul.